Garantie catastrophes naturelles – Assurance scooter 50cc
Ce qui est couvert par la garantie
Les dommages subis par votre cyclomoteur ou scooter 50 cc à la suite d’un événement déclaré de catastrophe naturelle par arrêté Interministériel, publié au Journal Officiel, sont couverts par la garantie assurance scooter 50 cc.La garantie s’exerce dans les mêmes limites que celles prévues pour la garantie incendie souscrite pour le véhicule.
Dans tout contrat d’assurance scooter 50cc, la franchise applicable en cas de dommages par catastrophe naturelle, fixée dans un arrêté ministériel par le gouvernement, est d’un minimum de 380 €.
Nous pouvons ouvrir le dossier sinistre catastrophe naturelle dès lors que l’arrêté a été publié dans le journal officiel.
Augmentation du nombre de catastrophes naturelles
Il y a de plus en plus de catastrophes naturelles pas seulement en France mais dans le monde entier. En effet, on assiste à cause du dérèglement climatique et du réchauffement de la planète à cause des gaz à effet de serre et d’une augmentation importante des dommages climatique comme les tornades ou les ouragans qui eux sont situé surtout en Amérique centrale.En France on a de plus en plus de problèmes de sécheresse qui touchent des régions du nord de la France alors qu’auparavant ce phénomène se situait plus dans des régions chaudes comme le sud de la France. Les phénomènes de sécheresse ont un impact significatif sur l’augmentation du prix des assurances multirisque habitation qui ont pour conséquence de générer des fissures sur les structures des maisons ou des immeubles. Lorsque survient ce type de sinistre cela engage des frais importants avec la mise en place des micropieux afin de limiter l’accélération des fissures en allant chercher très profonds des sols plus stables. Le coût de ce type d’intervention est énorme, car il faut compter un coût global de 30000 à 40000 euros pour une maison individuelle de 100 m2.
L’augmentation de ces catastrophes ont pour conséquence de faire augmenter de façon importante les primes des contrats d’assurance habitation. Par rapport à cela les assureurs refusent désormais d’assurer certaines habitations qui se situent par exemple en zone inondable ou ils majorent le prix de la cotisation avec des augmentations qui peuvent aller jusqu’à 30 % de la prime de bas en multirisque.